Jour 1
Arrivée à la réserve d’Amanalai.Ce parc est contigu avec Parambikulam. Cet espace protégé offre un territoire confortable aux animaux. L’objet de ma visite étant Parambikulam, moins touristique, nous continuons.
Nous voiçi à Parambikulam.
Nos tentes sont à l’intérieur de la forêt. Une pour Sanjev et Govindankutty, l’autre pour Vanchee et moi. Le parc possède des installations pour informer le public sur la protection et l’éducation. Tout est nickel. Un très bon point.
Nous prenons rendez-vous avec le directeur du parc, Mr Vijayananthan. Il nous reçoit en soirée. Je lui présente mon livre et Govindankutty lui demande une autorisation spéciale pour visiter l’ensemble du parc. Après son accord nous pourrons tout visiter. En plus de la partie touristique, c’est les 2 zones interdites au public qui nous apparaitront vite comme merveilleuses.
Jour 2
Très tôt, on part à pied dans la forêt.
Chitals, mangoustes, écureuils de Malabar, sont les espèces rencontrées.
Içi le gaur et le singe langur Nilgiri, 2 animaux emblèmes du parc.
En début d’après-midi, à l’entrée d’un des rares villages autorisés à l’intérieur, une manifestation des villageois pour la défense de leur forêt.
Ensuite, nous allons à la découverte des zones interdites au public.
Là c’est une claque. On change de monde. Sur la zone touristique (très peu fréquentée) la forêt est belle. Içi elle est intouchée. Tout est harmonie. L’homme ne l’a pas modelée.
Içi la zone de Orukomban.
On nous propose de passer la nuit dans un affut pour les gardes. Mes copains ne sont pas chauds. On décline l’offre.
Jour 3
La suite des journées se dérouleront à la découverte de ces espaces réservés et privilégiés.
Ce parc est très bien doté et managé. Tout est propre et organisé. Les gardes sont bien équipés et formés.
© Pierre Chéron |
Arrivée à la réserve d’Amanalai.Ce parc est contigu avec Parambikulam. Cet espace protégé offre un territoire confortable aux animaux. L’objet de ma visite étant Parambikulam, moins touristique, nous continuons.
© Pierre Chéron |
Nous voiçi à Parambikulam.
© Pierre Chéron |
Nos tentes sont à l’intérieur de la forêt. Une pour Sanjev et Govindankutty, l’autre pour Vanchee et moi. Le parc possède des installations pour informer le public sur la protection et l’éducation. Tout est nickel. Un très bon point.
Nous prenons rendez-vous avec le directeur du parc, Mr Vijayananthan. Il nous reçoit en soirée. Je lui présente mon livre et Govindankutty lui demande une autorisation spéciale pour visiter l’ensemble du parc. Après son accord nous pourrons tout visiter. En plus de la partie touristique, c’est les 2 zones interdites au public qui nous apparaitront vite comme merveilleuses.
Jour 2
Très tôt, on part à pied dans la forêt.
© Pierre Chéron |
Chitals, mangoustes, écureuils de Malabar, sont les espèces rencontrées.
© Pierre Chéron |
Içi le gaur et le singe langur Nilgiri, 2 animaux emblèmes du parc.
© Pierre Chéron |
© Pierre Chéron |
En début d’après-midi, à l’entrée d’un des rares villages autorisés à l’intérieur, une manifestation des villageois pour la défense de leur forêt.
© Pierre Chéron |
Ensuite, nous allons à la découverte des zones interdites au public.
Là c’est une claque. On change de monde. Sur la zone touristique (très peu fréquentée) la forêt est belle. Içi elle est intouchée. Tout est harmonie. L’homme ne l’a pas modelée.
© Pierre Chéron |
© Pierre Chéron |
Içi la zone de Orukomban.
On nous propose de passer la nuit dans un affut pour les gardes. Mes copains ne sont pas chauds. On décline l’offre.
Jour 3
© Pierre Chéron |
La suite des journées se dérouleront à la découverte de ces espaces réservés et privilégiés.
© Pierre Chéron |
© Pierre Chéron |
Les lacs, les forêts magnifiques, les rivières. Vraiment, les tigres sont bien à Parambikulam. Pour eux, je souhaite que les zones réservées le restent.
© Pierre Chéron |
Ce parc est très bien doté et managé. Tout est propre et organisé. Les gardes sont bien équipés et formés.
Selon Mr Vijayananthan, la population des tigres photographiés est de 16.